Tout cela pour des cailloux, avec la caution mal avisée des décideurs de notre époque! Déjà au XIXe siècle, là encore pour des pierres, d'autres irresponsables voulaient démolir le Château de Chillon pour en fabriquer du ballast. Heureusement par ses écrits, Lord Byron a su éviter le désastre. Dès lors, à l'heure d'Internet et des conquêtes spatiales, ne parviendrait-on pas (intérêts économiques, qu'en dites-vous?) à extraire de la pierre sans massacrer un site, figure emblématique et carte postale ambassadrice de la beauté lémanique?
Pour ne pas humilier les générations futures, une urgente remise en état des Monts d'Arvel s'impose sans aucun nouveau défrichement et dans les plus brefs délais. Lord Byron, que se dévoilent tes émules!
Georges Duperthuis, Villeneuve.